Zine Capital Invest http://soufian.net/zine Un goupe une vision Wed, 20 Dec 2017 15:56:23 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.1 Le groupe Zine prend pied dans l’industrie http://soufian.net/zine/2017/12/05/le-groupe-zine-prend-pied-dans-lindustrie/ http://soufian.net/zine/2017/12/05/le-groupe-zine-prend-pied-dans-lindustrie/#respond Tue, 05 Dec 2017 19:30:50 +0000 http://soufian.net/zine/?p=703 Présent dans l’agro-fourniture, l’agro-industrie, la distribution et le support, Zine Capital Invest lorgne l’industrie. Après la marque agro-industrielle Itkane, le groupe signe une joint-venture avec des producteurs turcs de couches pour bébés. L’objectif à terme est d’implanter une usine au Maroc dédiée au marché local et africain.

Le groupe Zine voit grand. Il compte diversifier progressivement ses activités en misant  davantage sur l’industrie. En attendant, le pôle distribution demeure le fer de lance du groupe intégrant cinq sociétés de transport dotées d’une flotte de 540 camions. Quatre sociétés sont spécialisées dans la distribution de sucre, en l’occurrence Conaco (conditionnement et distribution de sucre dans la région centre, nord et sud), Jamadis et Free Food (distribution de sucre dans la région centre) ainsi que Mouna Food concentrée dans le sud.

La cinquième ; Canal Food, est, elle, orientée vers la distribution alimentaire avec des partenaires comme Unilever Maroc, Kraft Food, Savola, Cosumar ou encore Méditel… Le pôle distribution permet donc de soutenir la marque d’agro-industrie du groupe Itkane. «Nos produits estampillés Itkane ; thé, farine, blé, sucre, pâtes ainsi que les produits de nos clients comme Kraft Food, Unilever et Savola représentent 30% des produits que l’on retrouve chez un épicier. Il faut savoir que nous avons 14.000 clients référencés au GPS sans compter la grande distribution, notamment Marjane, Acima, Carrefour, Label’vie et Atacadao en cours», déclare Abdelkrim Ouaid, administrateur-directeur général de Zine Capital Invest. Le groupe devient incontournable chez l’épicier. D’où l’idée de développer les marques sous contrat de distribution et investir de nouvelles niches.

Zine signe les couches made in Turkey
«Notre cœur de métier demeure la distribution qui s’est développée pour toucher l’industrie. D’où l’idée d’aller vers le thé, le blé, la farine, le couscous et les pâtes, etc. Toutefois, nous ne comptons pas nous arrêter là. Nous avons signé il y a 4 mois un contrat de distribution avec la marque turque Flyfix après avoir essayé plusieurs partenaires», renchérit Abdelkrim Ouaid. En effet, ce n’est pas la première expérience du groupe Zine dans les couches pour bébés. Les premières opérations d’importations ont été réalisées auprès de fournisseurs émiratis pour sonder le marché. La deuxième expérience a été réalisée auprès des Tunisiens de Lilas.

Enfin, le groupe a signé un contrat de distribution avec des partenaires turcs avec la possibilité de délocaliser la production au Maroc. Pour l’instant, les Turcs sont déterminés à inonder le marché marocain de couches «made in Turkey». Ils ont même dédié une usine spécifiquement au Maroc. Pourtant, dans deux ans, la donne pourrait bien changer. En effet, 2015 et 2016 seront des années test pour la marque Flyfix et détermineront la destinée du projet de l’usine marocaine qui devrait coûter 200 MDH. Pour le moment, le groupe Zine réalise un chiffre d’affaires à l’import situé entre 10 et 15 MDH. Selon Abdelkrim Ouaid, le marché réagirait très bien malgré une bataille acharnée sur les prix. Dans ce cadre, Dalaa, Pampers et la marque turque Molfix se battent sur un marché certes en croissance mais difficile.

Pour se différencier, FlyFix a choisi un type de couches-culottes dotées d’un système élastique, gage de qualité. En termes de communication, la marque reste encore discrète. Le groupe Zine ne veut surtout pas être victime de son succès. «Si nous investitissons massivement dans la communication, nous risquons de nous retrouver du jour au lendemain avec un gros volume de commandes non satisfaites. Si la logistique ne suit pas, les clients pourraient oublier le produit. L’objectif est que celui-ci atteigne le consommateur, qu’on le retrouve dans les foyers des Marocains», développe Ouaid. Ainsi, au bout de deux années de test, une fois la marque adoptée par les Marocains, la joint-venture maroco-turque pourrait donc devenir effective. En attendant la date butoir, le groupe Zine s’attelle sur d’autres chantiers plus urgents concernant sa marque agro-industrielle. Son objectif est d’homogénéiser la qualité de la marque Itkane.

Itkane, un choix stratégique du groupe
«Pour Itkane, nous visons une qualité régulière. C’est un choix stratégique que d’avoir une seule marque pour tous nos produits. Nous n’avons pas le droit à l’erreur», lance Yassine Taybi, directeur général des affaires du groupe et du développement. Avec ses deux minoteries ayant chacune une capacité de 600 tonnes/jour et une semoulerie dont la production est de 300 tonnes/jour, Zine Capital Invest continue d’investir. Dernier investissement en date ; l’activité de conditionnement et d’ensachage de thé a débuté dès janvier. Celle-ci a été imposée par la hausse des droits de douane sur le thé empaqueté par rapport au thé en vrac.

C’est la raison pour laquelle le groupe Zine a investi dans une unité d’ensachage de thé ayant coûté 15 MDH. Mais le groupe doit également assurer son approvisionnement en blé. Si le besoin du groupe en blé dur estimé à 80.000 t/an est totalement importé du Canada, celui du blé tendre provient en partie du marché local. Sur un besoin de 200.000 t/an, 20%, c’est-à-dire 40.000 t/an proviennent d’agrégations dans la région de Chaouia. «Pour ce faire, nous avons sélectionné 455 agriculteurs dans la région de Chaouia pour une superficie de 8.000 ha répartis sur 31 communes.

nous nous occupons de tout l’itinéraire technique, notamment la fourniture d’un engrais adapté formulé spécialement pour les agriculteurs. Nous en sommes à notre 4e projet aujourd’hui. Le but est aussi d’améliorer le rendement de ces terres. En effet, nous sommes passés de 15 q/ha à 50 q/ha. Le pic est de 77q/ha pour certains agriculteurs», explique Yassine Taybi. Un contrat de vente lie ainsi Zine Céréales à ces agriculteurs qui se délestent de 85% au maximum de leur récolte en blé.

Le reste des besoins en blé tendre est importé de France, Pologne et Allemagne qui arrivent à délivrer une qualité de céréales uniforme. L’organisation des agriculteurs en coopératives est le moyen d’y arriver. L’ambition du groupe Zine est de suivre le même chemin pour les agriculteurs de Chaouia et plus tard en 2016 ceux de Doukkala qui vont rejoindre le programme. Au final, que ce soit dans l’agro-industrie ou la distribution, le choix des partenaires demeure stratégique. La réussite des projets du groupe en dépend fortement.

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Zine Capital Invest dévoile ses ambitions http://soufian.net/zine/2017/12/05/zine-capital-invest-devoile-ses-ambitions/ http://soufian.net/zine/2017/12/05/zine-capital-invest-devoile-ses-ambitions/#respond Tue, 05 Dec 2017 19:26:41 +0000 http://soufian.net/zine/?p=699 Le groupe réalise un chiffre d’affaires consolidé de 4,5 milliards de DH. Il opère dans plusieurs domaines : thé, sucre, pà¢tes alimentaires, couscous, engrais, céréaliculture, aliments de bétail, distribution, logistique… Retour sur le parcours d’un entrepreneur autodidacte méconnu.

– La semaine dernière, le groupe a donné une grande réception à laquelle vous avez invité plus de 3 000 de vos partenaires…

C’est une opération qui a pour objet de mieux faire connaître notre groupe auprès de tous ses partenaires et de dévoiler la nouvelle identité visuelle de la holding Zine Capital Invest. Le groupe a de nombreuses activités dans plusieurs domaines qui sont complémentaires ou connexes. Certains partenaires ne font pas le lien entre les différentes activités et sociétés du groupe.

– Mais beaucoup d’entre eux vous connaissent très bien puisqu’ils traitent avec vous depuis des années…?

Non. Je dirai que beaucoup nous ont connus à nos débuts et ne réalisent probablement pas que nous sommes devenus un groupe véritablement multidisciplinaire et intégré. De nombreuses activités que nous avons lancées ces dernières années sont méconnues car, il est vrai, nous n’avons pas non plus communiqué à ce sujet. Certains de nos clients nous connaissent dans une activité mais pas dans les autres.

– Aujourd’hui, le marché va découvrir un grand groupe alors que ce dernier se développe depuis des années pour en arriver là. Est-ce que cette discrétion était volontaire ?

Le groupe a commencé dans une activité de négoce et de distribution du sucre. Au fil des années, et grâce à l’écoute du marché et de nos clients, des investissements ont été réalisés dans de nouvelles activités. Nous étions peut-être plus pris par le développement du groupe que par les impératifs de communication.

– Comment êtes-vous passé d’un simple distributeur de sucre à un groupe qui fait dans la minoterie, les pâtes alimentaires, le couscous, les engrais, les aliments de bétail, la céréaliculture, la logistique… ?

J’ai commencé dès mon très jeune âge comme apprenti avec mon père qui faisait les souks de Doukkala. A l’âge de 9 ans, en 1979, j’ai décidé de me lancer tout seul et j’ai rejoint Casablanca où j’ai loué une petite chambre dans l’ancienne médina (Bab Marrakech) à 60 DH par mois. J’ai fait le négoce de produits de forte consommation. En 1982, j’ai commencé moi aussi à faire les souks du Maroc où je vendais des produits que j’achetais à Casablanca. En 1986, je me suis lancé dans le négoce du sucre, du thé et du riz à Derb Omar (Rue El Melh). En 1990, j’ai commencé l’activité de la distribution du sucre (activité que je fais d’ailleurs jusqu’à ce jour). En 2002, je me suis rendu à l’évidence que je ne pouvais pas rester indéfiniment dans le négoce, j’ai alors acheté un dépôt à Lissasfa et me suis lancé dans la distribution pour le compte d’autres entreprises industrielles en commençant par les produits alimentaires du groupe Tria (notamment la farine). Par la suite, j’ai pu gagner la confiance de grandes sociétés comme Unilever, Savola et Bimo qui m’ont confié la distribution de leurs produits dans plusieurs zones et circuits (gros et détail). En 2008, j’ai décidé d’acheter ma propre minoterie avec une capacité de 200 t/jour. Peu de temps après, la demande de mes clients était tellement importante que j’ai dû rapidement réaliser une deuxième minoterie pour arriver à une capacité totale de 600 t/jour.

– Comment êtes-vous passés de la minoterie aux engrais ?

Je suis moi-même originaire d’une région agricole, et fils d’agriculteur. Et comme nous faisions aussi du négoce d’engrais depuis très longtemps, l’idée a germé depuis le début des années 2000. Mais c’est en 2009 que je suis passé à l’action en achetant un terrain de 7 hectares à Had Soualem pour y installer nos unités de conditionnement et de stockage d’engrais et aliments de bétail.

– Réalisez-vous ces investissements de manière intuitive ou prenez-vous le temps d’étudier minutieusement le marché ?

En fait, nous n’investissons dans une activité qu’après y avoir pris de l’expérience. C’est exactement ce que nous avons fait pour la minoterie que nous n’avons lancé qu’après avoir pratiqué le marché en tant que distributeur. C’est comme cela aussi que nous avons procédé pour les engrais. Comme nous étions dans la distribution, nous avons pris le temps pour comprendre les mécanismes et les subtilités du marché. Pour réussir dans les engrais, il faut comprendre que c’est un business qui est fortement exposé aux fluctuations des cours mondiaux et donc la clé de réussite est de détenir de grandes capacités de stockage pour réguler les coûts en achetant au bon moment et en écoulant au bon moment.

– Quand on parle d’engrais, on parle aussi d’agriculture. Il se trouve que vous êtes aussi présent dans ce domaine puisque vous êtes agrégateur dans la céréaliculture…

Absolument. C’est une activité que nous avons entamée en avril 2011. Nous l’avons lancée parce que nous croyons beaucoup au Plan Maroc Vert et nous estimons que nous pouvons nous aussi apporter notre contribution à sa réussite.

– N’était-ce pas risqué pour un groupe qui ne faisait que le négoce de se lancer dans une activité nouvelle et compliquée comme l’agriculture?

Certes. Mais mes origines de fellah me permettaient de bien comprendre les contraintes et les besoins des petits agriculteurs. Nous avions commencé en 2011 avec 133 agriculteurs pour une superficie de 2 500 hectares. Il est vrai que l’aventure n’était pas de tout repos. D’ailleurs, la première année n’était pas bonne du tout en termes de rendements et de gains, à cause de la sécheresse. Mais comme nous croyons fortement à ce projet, nous avons décidé de ne pas abandonner. Et ce qui nous a le plus aidés, c’est le fait que nous étions déjà un groupe intégré, ce qui nous permettait d’apporter aux petits agriculteurs un package complet depuis l’approvisionnement en intrants agricoles jusqu’à la valorisation de la récolte.

– Aujourd’hui vous êtes à combien en superficie agrégée ?

Nous sommes actuellement sur une superficie globale de 6 000 hectares avec quelque 300 agriculteurs. Notre objectif d’ici 2020 est d’atteindre 15 000 hectares et 750 agriculteurs.

– Plus récemment vous vous êtes lancé dans de nouvelles activités comme les pâtes alimentaires, couscous…

Oui. Depuis 2013, nous avons démarré nos unités de pâtes, couscous et semoule de blé dur, lancées également sous la même marque Itkane.

– Est-ce que vous exportez ?

Nous le faisions de manière timide. Mais actuellement nous pensons nous lancer sérieusement dans l’export, surtout sur le marché africain.

– Comme tous les grands groupes, vous n’avez pas pu résister à l’investissement dans l’immobilier…

Je ne considère pas les projets immobiliers comme étant une des activités du groupe. Il s’agit de terrains que je possédais personnellement depuis très longtemps et sur lesquels nous avons réalisé des projets de logements sociaux et économiques. Aujourd’hui, les activités immobilières s’autofinancent par elles-mêmes. Il ne s’agit pas d’investissements faits par le groupe comme c’est le cas dans les autres domaines. Pour tout vous dire, l’immobilier ne sera jamais pour moi une activité majeure ou stratégique pour le groupe.

– Quels sont vos projets pour les années à venir ?

Notre objectif est de continuer à développer nos activités, nos portefeuilles clients et partenaires, élargir les gammes de nos produits, et bien sûr augmenter notre chiffre d’affaires. Nous réalisons actuellement un chiffre d’affaires consolidé de 4,5 milliards de DH. Selon notre plan de développement quinquennal, nous prévoyons un taux de progression annuel à deux chiffres. Pour cela, nous nous donnons les moyens et supports nécessaires en termes de ressources humaines, d’organisation et de moyens techniques: recrutement de cadres hautement qualifiés, implémentation d’une solution SAP à partir de janvier 2015…
En 2014, le groupe a décroché la certification de ses processus et son activité industrielle, nous sommes parmi les premières minoteries industrielles à avoir obtenu l’agrément de l’ONSSA qui sera obligatoire à partir de janvier 2015. Nous sommes allés au- delà de cet agrément et nous avons relevé le challenge de nous faire certifier ISO 9001 et 22000.

En savoir plus sur http://lavieeco.com/news/economie/zine-capital-invest-devoile-ses-ambitions-32128.html#84SeCT3VUyFsmpHZ.99

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Une holding discrète qui fait des petits… http://soufian.net/zine/2017/12/05/zine-capital-invest-une-holding-discrete-qui-fait-des-petits/ http://soufian.net/zine/2017/12/05/zine-capital-invest-une-holding-discrete-qui-fait-des-petits/#respond Tue, 05 Dec 2017 19:25:15 +0000 http://soufian.net/zine/?p=696 Noureddine Zine, PDG de Zine Capital Invest (à droite) en compagnie de Yassine Taybi, DG affaires et développement du groupe au stand  Alitkane au pavillon produits du Siam. Le top management du groupe annonce l’ouverture de deux nouvelles usines cette année (Ph. ZCI)

Zine Capital Invest nourrit de grandes ambitions. Le groupe  familial appartenant à Noureddine Zine, qui a fait ses débuts dans la distribution et la logistique, vient de lancer cette semaine une usine de production de pâtes longues (spaghetti) à Had Soualem, dans la région de Casablanca. La toute nouvelle unité a une capacité de production de 20.000 tonnes par an.

C’est un investissement de 28 millions de DH. Le groupe s’apprête également à démarrer une autre usine à Had Soualem qui va se spécialiser dans la production de biscuits et gaufrettes. «Cette firme a nécessité un investissement de 180 millions de DH avec un potentiel de développement allant jusqu’à 1 milliard de DH à terme. Elle sera opérationnelle en novembre prochain», annonce Noureddine  Zine, PDG de Zine Capital Invest.

L’unité de production de biscuits créera 300 emplois directs. Méconnu il y a quelques années, le groupe «Zine» accélère son développement et s’affirme comme un des plus grands opérateurs dans l’agroalimentaire. Zine Invest est plus connu à travers ses produits Alitkane. «Nous sommes plus connus en tant que fabricant de pâtes et de couscous.

Nous avons une capacité de production de 3.200 tonnes par mois réparties entre pâtes et couscous», précise Yassine Taybi, DG affaires et développement. Le groupe emploie 1.600 salariés dans ses différentes unités basées dans la région de Casablanca. Zine Capital Invest opère également dans la farine à travers une minoterie à Bouskoura. Les grands moulins Zine ont une capacité d’écrasement de 600 tonnes par jour et une production annuelle de 280.000 tonnes. C’est un investissement global de 1,2 milliard de DH. La holding dispose aussi d’une semoulerie à Ouled Saleh (ex-propriété du groupe Tria) avec une capacité d’écrasement de 300 tonnes/jour.

Canal Food est la société de distribution du groupe. C’est à travers cette filiale de distribution qu’il arrose les rayons de la grande distribution ainsi que les supérettes de quartiers. La holding dispose d’une grosse machine logistique bien huilée déployée via une flotte de 550 camions. Ce qui en fait une filiale de transport/logistique intégrée. «Nous sommes aussi distributeurs de l’huile Afia du groupe saoudien Savola ainsi que de produits d’Unilever… Nous distribuons aussi le sucre de Cosumar», fait valoir le management. Et d’ajouter: «Nous importons également du thé vert que nous conditionnons et commercialisons au Maroc».

En 2016, le groupe Zine a réalisé un chiffre d’affaires de près de 5 milliards de DH. «Nous comptons réaliser autant en 2017», assure son président. Les approvisionnements des sociétés du groupe sont mutualisés via la société Zine Céréales. Cette entreprise est spécialisée  dans l’importation de céréales, d’engrais et aliment de bétail ainsi que la fabrication de mélanges d’engrais.

Pour s’assurer des relais de croissance, Zine Invest compte développer plus de débouchés en Afrique subsaharienne. Pour le moment, elle exporte essentiellement pâtes et couscous au Sénégal et en Mauritanie.

 

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